Le pouvoir des fréquences sacrées
Les fréquences sacrées, également nommées solfège sacré, solfège ancien, solfège secret ou encore solfeggio, sont une gamme particulière composée de neuf fréquences : 174, 285, 396, 417, 528, 639, 741, 852 et 963 Hz.
Ce solfège sacré rééquilibrant a de nombreuses vertus sur tous les plans de l’être. Faciliter le changement, développer l’intuition, se libérer des peurs et des culpabilités, améliorer ses relations (et bien plus encore) grâce aux fréquences sacrés…
Nous savons depuis longtemps que le son et les fréquences impactent directement le corps physique ( Travaux de Marie-Louise Aucher).
Nous savons aussi que certaines mélodies, musiques, gammes, harmonies ou instruments influencent tel ou tel état émotionnel et mental.
Les fréquences et les sons induisent des images qui à la fois stimulent et structurent la conscience et à la fois peuvent libérer des émotions bloquées.
Nous savons également que certaines fréquences entendues et filtrées, lors de thérapies sonores, vont venir rétablir un état stable chez une personne.
Les fréquences sacrées fonctionnent de la même façon en agissant par ailleurs sur tous les plans de l’être : mental, émotionnel, physique et spirituel.
100 ans d’évolution scientifique!
Des cellules à l’ADN, de la mémoire de l’eau à l’épigénétique, depuis 100 ans les découvertes scientifiques viennent nous offrir de nouveaux paradigmes.
Georges Lakhosky (1869-1942), scientifique et ingénieur, a été le premier à mentionner que les cellules et leurs noyaux pouvaient être considérés comme des “oscillateurs biologiques” qui transmettent des informations en émettant des ondes électromagnétiques.
Ensuite, Emile Pinel (1906-1985), mathématicien, appliqua ses analyses mathématiques à l’étude des mécanismes biologiques qui régissent la vie des cellules.
Dans les années 1980, le Dr. Fritz-Albert Popp, fondateur de The International Institute of Biophysics in Neuss, et ses collaborateurs de l’Université de Marbourg en Allemagne, effectuent également des mesures des photons (quantité d’énergie élémentaire d’une onde électromagnétique) émis par des organismes, avec des appareils modernes extrêmement sensibles et précis. Ils vérifient ainsi que les photons, les bio-photons en l’occurrence, transportent des informations et les transmettent à d’autres cellules. A travers les biophotons, les cellules échangent diverses informations qui entraînent des réactions biochimiques.
Étienne Guillé, biologiste, avance que la biologie est fondée sur un couple matière / vibration. La matière est le support, et la vibration porte l’information.
Dès 1983, il énonce que certaines zones de l’ADN fonctionnent comme des récepteurs et émetteurs de vibrations électromagnétiques.
C’est donc bien en tant qu’antenne émettrice que l’ ADN d’un chromosome d’une cellule peut transmettre des informations aux autres cellules.
Mais pour le docteur Peter Gariaev, Directeur du Wave Genetics Institute de Moscou, l’ADN est bien plus qu’une antenne réceptrice / émettrice : l’ADN est un lieu de stockage capable d’interpréter les informations qu’il reçoit, de les décoder, de les interpréter, de les modifier, de les enregistrer et de réagir en conséquence. L’ADN a donc toutes les caractéristiques d’un ordinateur biologique.
L’eau enregistre les informations également!
Je vous conseille vivement ce magnifique reportage sur les travaux de Benvéniste, repris par le Docteur Luc Montagnier (Luc Montagnier a découvert le virus du sida) :
« On a retrouvé la mémoire de l’eau ».
Le docteur Masuru Emoto a aussi largement contribué, grace à un procédé de photographie des cristaux d’eau congelée, a démontré que l’eau recevait l’information et réagissait en conséquence.